list of french movies I've seen: https://boxd.it/DtTby

alphaville
Jean-Luc Godard
je m'ennuie des dystopies. mais il est drôle qu'il est créé une dystopie des linguistiques structurelles.

le mépris
Jean-Luc Godard
Il m'a rappelé de la mauvaise adaptation d'Odyssée par Nolan qui arrivera -- même Godard savait faire de la polychromie. j'adore quand on peut sentir les mouvements délibérés de la caméra ; j'adore quand les films ne font pas semblant de ne pas être les films (une victoire pour Walter Benjamin). j'adorais aussi les plans qui se traversent entre les portes d'appartement. mais j'ai seulement de trucs à dire à propos de la forme du film puisque j'étais peu intéressé par le contenu.

la passion de jeanne d'arc
Carl Theodor Dreyer
j'étais finalement poussée à le regarder après vivre sa vie. c'est mon deuxième film muet après le film de Eisenstein Le Cuirassé Potemkine. c'est important de demander pourquoi l'appréciation d'un film est limité au son style à cause de son propagande, pendant que le contenu catholique et nationaliste d'autre film de manière flagrant pourra être perçu comme méritant. les deux films finissent même avec la révolte... pourquoi est l'une justifié par rapport à l'autre ?

playtime
Jaques Tati
la description de Kanopy disait que le film soit une comédie, mais la première moitié était plutôt terrifiant -- d'une connotation positive (mais je suis en accord qu'ils l'ont décrit comme « chorégraphie »). les modernistes de trois décennies avant auraient été fier... mais la partie du restaurant devenait ennuyeuse.

les quatre cents coups
François Truffaut
au début, j'avais pensé que j'aie été trop misérable pour sa fantaisie, comme je sentais avec le film de Georgiy Daneliya je me promène à Moscou. mais mon intérêt était attrapé quand la bande originale s'est coupé et l'enfant buvait du lait avec désespoir dans la rue tout seul, est même plus tard quand il se trouver à la prison. (passez votre souris pour révéler les spoilers) Les Quatre Cents Coups se passe autour d'un enfant qui est confronté à la loi ; la loi des parents, des enseignants et même l'état. et ces lois se mêlent entre eux, comme quand l'école échoue d'encourage le potentiel dans l'enfant qui fume et lis Balzac, parce que c'est la littérature et l'écriture à laquelle pourraient lui permettre a critiqué ces lois qui lui encerclent. quand écrire n'était pas à son avantage, il avait recours à façon plus direct, à vendre une machine à écrire, mais la loi lui attrape encore. l'apparence d'esprit léger du film auquel cache les thèmes sombres parallèle la réalité des enfants ; notre nostalgie pour les temps plus simples nous rendre ignorants de vraies difficultés que les enfants souvent font face.

la règle du jeu
Jean Renoir
très fou. au début, j'étais plutôt intéressé par l'aviateur, seulement pour l'attendre apparaître après trente minutes pour se dandiner dans son trench-coat, disparaître de plus une autre fois, et meurt. (passez votre souris pour révéler les spoilers) une chose bizarre quand on regarde les vieux films c'est qu'on doit se questionner si on regarde du vrai cruauté envers les animaux sur l'écran... j'étais surprise quand Christine et la maîtresse s'entendaient bien, la scène était tellement mignonne. (passez votre souris pour révéler les spoilers) j'ai aussi apprécié les scènes du théâtre, Renoir est sauvé ses plans les plus intelligents pour celui-là.

vivre sa vie
Jean Luc-Godard
cent fois mieux que à bout de souffle. simple de façon "less is more," j'ai aimée ses petites excentricités, comme les plans des arrières des têtes. comme c'était facile à suivre, je pense que le dialogue était économique (même quand c'était plutôt les bruits de rue que les mots). je pense aussi que parler est une charge.

la planète sauvage
René Laloux
j'ai le regardé avec une fièvre. je manque à l'animation cellulo... le biologie/technologie des personnes bleus était amusant, mais je devenais ennuyer quand ils n'étaient pas sur l'écran. je n'étais pas investi dans les personnages non plus. ça ne me dérange pas pour quelque chose qui est plus intéressé par la construction d'univers, mais la scène ou la grand-mère est morte est tombée à plat. (passez votre souris pour révéler les spoilers) aussi, le film me rappele de ce tableau par dali

white material
Claire Denis
j'adore claire denis et même plus isabelle huppert. denis décrit les formes les plus subtil d'une personnalité coloniale : maria n'est pas courageuse, mais arrogant. elle pense qu'elle appartient, mais elle peut seulement appartenir aux conditions de l'exploitation. comme dans beau travail, denis est capable d'écrire les personnages qui font toujours les mauvaises décisions de façon que m'intrigue au lieu de me frustre.

plein soleil
René Clement
la cinématographie/alain delon est belle/beau mais je ne sentais rien de plus.